Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

www.basta-ya.net

Accédez directement à ce blog grâce à l'URL :
http://www.basta-ya.net

Recherche

Réagissez !

Vous pouvez réagir à tous les articles de Bronco en cliquant sur le lien commentaire (x)présent sous chaque article.

Articles RÉCents

20 mars 2011 7 20 /03 /mars /2011 20:21

 

Samadet. 20 mars 2011. Novillada de la Fête de la faïence.

 

 

6 novillos d’ANTONIO LOPEZ GIBAJA (Caceres)

 

Pour :

 

Thomas DUFAU (Silence et Salut au centre)

 

Fernando ADRIAN (Oreille et Silence)

 

Juan LEAL (Oreille et Salut au centre)

 

 

Vuelta posthume pour le quatrième novillo

 

________________

 

 

 

 

 

Du fait de la douceur extérieure, l’enceinte samadétoise, remplie aux 9/10èmes était en mode décongélation, réchauffée de plus par une musique dont le niveau sonore était au niveau de la qualité.

 

Le lot d’ANTONIO LOPEZ GIBAJA n’a pu renouveler son succès de l’an passé. La présentation ne souffre guère de critiques : un ensemble de colorados plus ou moins obscurs avec des armures correctes. En revanche, une faiblesse récurrente et un manque de race rendit la plupart des combats très ennuyeux. Le quatrième, plein d’allant et d’alegria de la sortie du toril jusqu’à la fin de sa vie publique, fut l’exception heureuse de l’après-midi. La vuelta après une seule pique peut paraître généreuse mais l’on sait que désormais, les mouchoirs bleus sortent facilement…

 

Thomas DUFAU a manqué une occasion en or de triompher en ne parvenant pas à tuer de manière seulement correcte l’excellent novillo qui lui offrait ses oreilles. Manque de décision regrettable après une faena plaisante mettant en valeur la noblesse encastée de son adversaire. Face au premier qui devint réservé et défensif, Thomas fut facile, les mains en haut du guidon, sur ce vélo de facteur. Comme au quatrième, la dernière de ses épées fut transperçante.

 

Fernando ADRIAN dut faire avec deux novillos faibles, ne répétant pas, aux charges courtes, devenant arrêtés en fin de faena. Quelconque à la cape, il assomma tout le monde avec ses cites bruyants. Une entière d’effet rapide après un pinchazo entraina la sortie d’une douzaine de mouchoirs sur les gradins. Il n’en fallait pas plus pour que le Président sorte le sien pour une oreille des plus incongrue ! Comme il fut plus laborieux à l’épée au cinquième, la plaisanterie ne se répéta pas.

 

Juan LEAL reçut un troisième novillo mobile, désordonné, sans race Sa faena manqua de liant et de dominio mais pas de volonté. Il s’efforça de tirer le maximum du sixième faible et atone. Et il y eut de bons moments où il démontra de très jolis gestes donnant envie de le revoir, d’autant plus qu’il termina d’une épée pleine d’engagement.

 

 

Vu du troisième des six rangs pour 28 €.

 

Partager cet article
Repost0

commentaires

V
<br /> <br /> Content de retrouver des comptes rendus digne de foi.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> <br />
Répondre