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Articles RÉCents

20 février 2008 3 20 /02 /février /2008 22:09
Aprés avoir revu la prestation de Roman Perez sur www.corrida.tv  , je trouve toujours autant de goût et de rythme à son toréo
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17 février 2008 7 17 /02 /février /2008 17:54

Succès populaire pour cette première novillada de la saison, avec 4/5ème d'arène. Vu du cinquième rang, 25 €.Ce fut une après-midi plutôt décevante du fait de la faiblesse générale du lot d'ESCUDERO DE CORTOS. Un lot joli de type, assez fin sauf le quatrième hors du type, plus rond et..solide sur ses pattes. Au moral, des novillos nobles sans beaucoup de piquant hormis le dernier plus encasté.

J'ai du mal avec Pepe MORAL. Je le trouve techniquement capable mais sans personnalité dans son toreo, en bref, très ennuyeux. Faena interminable endormant tout le monde et trois-quarts d'épée prudente pour conclure. Silence. Face au lourdaud quatrième, prestation aussi passionnante. Malgré des tentatives de forcer l'enthousiasme en faisant l'hélicoptére en quittant le novillo à chaque fin de série, même conclusion : silence éloquent après une demie-épée en arrière et deux descabellos.

Ruben PINAR fut bien mieux malgré deux novillos qu'un courant d'air faisait chuter. Il parvint les deux fois à trouver la vitesse et la hauteur idoine pour sortir deux faenas d'infirmier certes mais diplômé. On récompensa ses réels efforts d'un salut au centre et d'une oreille.

Je suis très content d'avoir revu Roman PEREZ. Il est devenu mature tout en gardant ses autres qualités. Un toreo élégant et reposé, notamment devant le dernier novillo. Des entrées "a matar" décidées. Oreille et deux oreilles qui font plaisir pour ce garçon qui m'a l'air d'avoir franchi un vrai palier dans sa carrière. Croisons les doigts pour la suite de la saison.

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16 février 2008 6 16 /02 /février /2008 09:24

En attendant le compte-rendu, voici quelques photos, et toujours l'édito sur le sujet : La véritable violence


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11 février 2008 1 11 /02 /février /2008 18:28
  • Jusqu'alors les quarterons d"antis" se contentaient de scander slogans simplistes et huées anémiques.

    A Samadet ce dimanche, un énerguméne répondant au nom de Legall a, depuis son nid d'aigle, un rond-point proche de l'allée conduisant aux arènes, renouvelé le genre de ces manifestations. 

    Hurlées par haut-parleur, il se répandit en éructations haineuses, propos délirants et invectives d'une rare vulgarité dont on aurait aimé qu'ils fussent enregistrés afin de les faire entendre au plus grand nombre pour que l'on puisse juger de leur auteur et du mouvement qu'il représente.

    Comme la quasi-totalité des aficionados considérait avec commisération ces agitations, le dénommé Legall s'est excité de cette indifférence goguenarde et a versé dans la provocation verbale la plus odieuse. Il en a récolté une droite d'un quidam qui n'en pouvait plus et un embarquement dans la voiture des pandores soucieux de l'ordre public.

    Souhaitons qu'il se lève beaucoup de martyrs de la cause de cet acabit. Ainsi, chacun pourra juger dans quel camp se situe la véritable violence...
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10 février 2008 7 10 /02 /février /2008 19:36
 
 
Soleil et 8° dehors, 7° dedans pour les, selon mon estimation, 400 personnes attentives à cette Fiesta Campera (entrée gratuite) où trois vaches furent torées par Mario GUIRAO, Thomas DUFFAU et Mathieu GUILLON. Un jury désignant la meilleure prestation permit à Mathieu GUILLON de tuer un novillo de PERICALVO.
 
Trois vaches d’ALMA SERENA : la première d’une grande bonté et brave sous la pique, la deuxième mansa compliquée, la troisième permettait tout en ayant un peu de piquant. Mario GUIRAO se montra à l’aise mais, vu la facilité de l’opposition, le tout manqua de vibration. Thomas DUFFAU fut tranquille et technique mais son opposante ne permettait pas grand-chose. Mathieu GUILLON fit encore preuve de sa planta torera sans être totalement dominateur toutefois. Mais cela lui permit de l’emporter.
 
Sortit un très laid novillo playero à la queue coupée à ras ( !) plein de gaz mais sans caste qui déborda tout le monde jusqu’au tercio de palos. Ensuite Mathieu GUILLON eut du mal à canaliser la charge désordonnée du novillo. Quelques bons moments vers la fin de la faena et une très bonne épée (que permettait l’armure …) et deux oreilles remises par un alguazil d’occasion : Julien Lescarret. Mathieu, élégant, invite ses deux compagnons à sa vuelta.
 
 
 
Novillada piquée de l’après-midi
 
 
Pitoyable prestation des vingt-cinq « antis » qui, agacés du regard goguenard des aficionados, se montrèrent sur leur plus mauvais jour, le véritable je pense…
 
La plus belle réponse qui leur fut donnée, c’est le quasi-plein des arènes. Pour le reste, après-midi en demi-teinte par la faute de la faiblesse des novillos d’ESCUDERO DE CORTOS. Mais la volonté de Ruben PINAR (salut au centre et oreille) et surtout la volonté alliée à la qualité du toreo de Roman PEREZ (oreille et deux oreilles) ont sauvé le spectacle. Pepe MORAL resta ennuyeux de bout en bout (silence et silence.) 



COMPTE-RENDU DETAILLE BIENTÔT...
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7 février 2008 4 07 /02 /février /2008 20:41
 
 
« Il paraît qu’hier soir, on a arrêté les juifs et les coiffeurs.
Pourquoi les coiffeurs ? »
 
Cette petite histoire pour rappeler qu’il ne faut jamais baisser la garde mais toujours conserver une capacité de refus devant les entorses, même minimes à nos droits. On peut appliquer cette règle à la légitimité de notre passion.
 
Des graffitis honteux sur des arènes, cela doit être dénoncé et stigmatisé et l’on ne saurait se contenter de hausser les épaules ou de soupirer. On ne saurait non plus accepter les propos du Crac déniant toute responsabilité, affirmant qu’ils sont totalement étrangers à ces actions, laissant même traîner le soupçon que des aficionados en seraient les auteurs, histoire de discréditer les « antis. » Posons simplement la question de savoir à qui profite la publicité faite à de si minables agissements ?
 
Nous verrons bien, dimanche à Samadet, si nous retrouvons les faces aigries et haineuses que nous vîmes au Moun pour le Festival. En tous cas, je serais le matin et le soir pour témoigner aux organisateurs locaux du soutien des aficionados.
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15 janvier 2008 2 15 /01 /janvier /2008 22:38

...ne s' y était pas encore rendu , qu'il se précipite, toutes affaires cessantes, sur le monument d'anthologie que l'on peut trouver sur "Campos y ruedos" , rubrique blog , article "Simon Casas, Nîmes, afeitado."

Je savais le Simon grand comédien , mais là , il s'agit d'une performance digne de l' "Actor's studio" .

Chapeau l'artiste ..!

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6 janvier 2008 7 06 /01 /janvier /2008 17:28

Vu sur "Mundo Toro" qu'à  Vista Alegre , dans le cadre du "Cycle de la opportunidad", CALITA confirme tout le bien que j'ai pu penser , et écrire ici , du garçon. TOMASITO fait bonne impression, sauf à l'épée . 

MORANTE persiste dans son nouveau goût pour les couvre-chefs exotiques en préparant l'événement de sa corrida avec le PANA . Sans chapeau mais avec une coiffure romantique, CASTELLA engrange les trophées.

Plus anecdotique, un site va créer , et décerner des "anti-récompenses" pour des reseñas qui leur paraîtraient particuliérement remarquables. Il a pris la (sage) précaution de préciser que ces distinctions pourraient être attribuées à des compte-rendus émanant du site même. A mon avis , il y a matiére...

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1 janvier 2008 2 01 /01 /janvier /2008 12:23

 

«Dans l’air nous suivons des yeux la fumée, la fumée,

qui vers les cieux monte, monte parfumée,

cela vous monte gentiment, gentiment à la tête,

tout doucement, cela vous met l’âme en fête… »

 

 

2008, exit les cigarières, « Aqui no se puede fumar ! » Même si chacun a pu pester contre un fumeur de « puro » dont les volutes vous accompagnent durant six toros, on regrettera un interdit de plus, signe d’une société incapable de laisser cohabiter, simplement par le respect mutuel, ses différences.

 

1er janvier, période des vœux, tradition un peu agaçante, mais qui permet de rêver, je souhaite donc :

 

- à Morante d’abandonner les canotiers ridicules pour reprendre la montera,

- à Sébastien d’atteindre enfin une forme de sérénité,

- à Jean-Baptiste de confirmer ce qu’il montra à Las Ventas,

- à José Tomas d’éviter de se compromettre face à des toros ridicules,

- à Chopera d’arrêter de prendre Mont-de-Marsan pour une vache à lait,

- à la Commission taurine de ne pas nous prendre pour des naïfs,

- aux peñas montoises de ne pas se laisser instrumentaliser,

- à « l’incombustible » alguazil montois de rester près du feu,

- aux dacquois de ne pas faire tomber leur feria dans la caricature,

- aux alguaciles dacquois de cesser des querelles clochemerlesques,

- aux vicois de ne pas imposer des cadences infernales pour pentecôte,

- aux organisateurs aturins et hagetmautiens de respecter les aficionados,

- à Orthez de conserver le niveau atteint,

- aux toros de ne pas tomber,

- aux oreilles de tomber à juste titre,

- aux toristas fanatiques de savoir apprécier les efforts des toreros,

- aux toreristas de mesurer leurs enthousiasmes à hauteur des toros affrontés,

- à certains webmasters de ne pas se victimiser de manière ridicule,

- à tous les défenseurs de la Fiesta Brava de surmonter leur ego pour agir efficacement,

- à tous les aficionados de croire toujours au Père Noël,

- à tous les lecteurs de Basta-Ya de se manifester,

- et à tous de mesurer l’immense bonheur de partager une telle passion…





P.S : J'ai arrêté de fumer depuis longtemps...
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2 décembre 2007 7 02 /12 /décembre /2007 19:38
 
 
Combien coûte une temporada ? Cela varie suivant le degré d’aficion, des places choisies, du temps libre, du pouvoir d’achat ou…des relations de l’aficionado.
 
Pour ma part, le bilan des dépenses est le suivant : une moyenne de 12 € pour les novilladas sans chevaux (j’étais au callejon pour la deuxième journée à Rion.)
 
Les novilladas piquées m’ont coûté 27 € en moyenne (une place m’ayant été amicalement offerte par un Saint-Sevérin.)
 
Quant aux corridas, comme l’on s’en doute, et même si je reste généralement fort loin des barreras, la place se monte en moyenne à 51 €. Les deux corridas à Las Ventas sont sorties du chiffre grâce au fait du légendaire sens de l’accueil des espagnols.
 
 
Multipliez le total par deux, rajoutez carburant, repas et copitas et vous évaluerez le prix de la passion mais vous le connaissez déjà…
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